Une niche bien prisée par les opérateurs de microfinances (EMFs) c’est celle de la frange de la société qui adule de mettre de côté de façon quotidienne une certaine somme d’argent sans avoir nécessairement besoin de se déplacer pour une institution bancaire pour épargner. Cette pratique très courante en Afrique, est une manière pour les EMFs de bancariser même sommairement les particuliers qu’ils soient du secteur informel ou pas.
L’offre commerciale dénommée « collecte journalière » encadre cette activité. Elle se fait par le truchement des agents physiques qui se déportent vers les clients afin de d’encaisser les épargnes flottantes. L’approche réside dans un rapport de confiance instaurée pour permettre à l’épargnant de faire des dépôts d’argents à la microfinance par l’intermédiaire de son personnel dûment identifié, mais par le moyen aussi de processus administratifs et financiers plus ou moins bien huilée.
Seulement, force a été de constater que si pour les dépôts on ne dénombre pas de façon significative des dérives, pour les retraits c’est loin d’être le cas. En effet, on observe beaucoup de scénarios nébuleux dû au fait que clients et microfinances peuvent être abusés par des manœuvres frauduleuses des employés véreux qui peuvent à titre d’exemples contrefaire des signatures pour authentifier des retraits fictifs. Ce qui engendre ne détérioration des rapports entre les cibles dépossédées de leurs fonds et les EMFs elles aussi victimes d’abus de confiance.
Pour contourner ces situations désastreuses pour les affaires, les managers se tournent vers leurs supports techniques pour développer des solutions automatisées ou digitalisées pour contourner ou réduire les failles de sécurité. Le procédé est assez simple et repose soit par un système biométrique par empreintes digitales, ce qui est à la dernière tendance, soit un par un système de code PIN remis au client lors de l’enregistrement dans le fichier informatique. C’est ce code PIN qui se doit d’être introduit comme dernier barrage d’authentification en plus de la photo, de la pièce d’identité et de la signature régulièrement requis mais hélas qui peuvent être tous soient volés soient usurpés.
Avec le logiciel de collecte journalière I-Collect développé par ITECH SARL, ces processus sécuritaires sont hautement pris en considération pour permettre une fluidité dans les transactions tout en conservant haut le niveau de confiance des partis. Toute choses qui participent de la bonne performance commerciale.
